La société, qui se fonde sur la base d’un besoin fondamentalement humain, par la peur de l’unicité moindre que celle divine, par la conquête de satisfaction d’abord individuelle qui en induit une plus ample qui se traduit par une prise en compte des autres individus, implique par une description un assemblage d’humains, d’êtres vivants quelqu’ils soient et même parfois selon les besoins naturels de l’homme, les solides comme scientifiquement appelés ou les constituants immuables de la nature. Nous parvenons, l’Homme en d’autres termes, par manque de substances humaines à extirper du solide issu de la nature des éléments nécessaires à notre vie, indispensables à notre quotidien. Nous arrivons par la science et par approfondissement de l’esprit à faire des éléments de la nature en outre bien que solides plus ou moins des outils de subsistance. L’Homme sera toujours reconnaissant vis à vis de la nature dans sa capacité à pouvoir nous permettre d’y puiser le manque constaté entre humains. Cela peut-il se vérifier scientifiquement ou juste naturellement ?
L’être humain tel qu’il est, se conçoit seulement par nature un vivant sur la planète terre avec ses composants et comme principal des composants son semblable, D’abord seul à l’initiative divine, il fut rejoint par son contraire une femme pour la composition de la famille qui en soit est un contre-courant de la sollicitude.
Tout ceci pour essayer de comprendre le phénomène de son évolution qui selon tout constat paraît contraire explicitement à son origine. Une contrariété en effet, de constater que la société à évoluer dans un sens quelque discordant. Le rôle premier de la société, si l’on peut lui en assigner, est d’abord de par ses constituants à constater les différences entre humains, familles et groupes, et en second lieu de s’atteler à rassembler toute cette disparité sur un point de convergence dans lequel règne le commun en un sens propre. Un lieu commun de vie. Sans oublier qu’elle s’arme de règles et lois à respecter.
Par ailleurs, notre étonnement sur son évolution nous poussent à analyser oh que solliciter la société dont je fais partie, ma société, la société dans son universalité. La société dans laquelle il est facile de l’identifier par sa posture vis à vis de ses composants. Me dira t-on : elle est africaine pour ma part. Mais elle unique dans le sens de sa constatation mondiale. Elle ne se déracine point. Une composition de différences justement, des hommes et des femmes ancrés dans leur culture et tenaces au maintien des principes de base. Avant (2 siècles av) et c’était bien dans le passé, nous fûmes tous par l’histoire issus de famille avec des vocations socioculturelles et socioprofessionnelles pour le bien être de la société et sa bonne marche. Nous en parlons à cette époque au 21e siècle pour cause ces connaissances ont été conservées et transmises de génération en génération et encore et encore et ce dans le contemporain des festivités de la société. Y’a t-il un frein du mécanisme de la transmission des connaissances jadis qui faisaient l’identité et la reconnaissance de chaque élément de la société dans sa famille, son groupe et le rôle de chaque constituant pour le bien être de la collectivité à laquelle il appartient.
La société subirait-elle une transformation où des transgressions à la conformité societale s’opèrent pour substituer les bienfaisances de la nature à une forme apparente à l’anarchie. A ce jour, nous bénéficions de gestion à tendance organisationnelle au sein des sociétés ou devrais-je dire nous nous sommes convenus de délaisser la gestion monarchique pour la quasi-totalité du monde à quelques exceptions près au profit de visions politiques avec une tendance républicaine. Pour la plupart, en effet, les pays du monde sont devenus par la force des choses des républiques avec comme sacerdoce des idéologies politiques (socialisme, libéralisme, populisme, communisme etc) pour la régence des sociétés que nous sommes. Mais elles n’ont pas disparu. Elles ne cesseront jamais d’être: d’exister, d’être la base de quelques actions que ce soient pour son bien-être.
La culture de l’oubli malheureusement dispensée par le temps et ses avènements de rebonds idéologiques juste à sens personnifié favori seraient-elles une un travesti de l’image réelle des sociétés. Non, que tout à fait!
Quelle est cette société qui met en avant le dissident et relègue ou ne s’occupe plus de la descendance intellectuelle innée faite et conçue naturellement pour le bien être et la subsistance de la société.
Boubacar NDIAYE.
